Rachat de crédit, depuis quand cette solution existe (petit historique)

Durant les années 80, l’idée consistant à rassembler l’ensemble de ses prêts en un seul dans le but d’alléger les charges de paiement des dettes est apparue pour la première fois.

Une idée qui favorise davantage les emprunteurs se trouvant dans des situations d’endettement. Les organismes bancaires de l’époque n’ont pas beaucoup apprécié cette nouvelle idée de « rachat de crédits », puisqu’ils voyaient leurs créances qui s’échappent vers d’autres établissements.

Cependant, l’initiation et le développement de ce système de « rachat de crédits » n’étaient pas l’œuvre des banques traditionnelles, mais ceux des intermédiaires en opération de banque (IOB). L’idéologie des banques standards, par rapport au rachat de crédit, n’était pas de substituer un prêt par un autre, surtout pas un taux moins faible.

De ce fait, elles ont eu du mal à accepter cette nouvelle idée. Les banques traditionnelles ne possédaient pas d’offre similaire à ce système de rachat de crédit. Malgré cela, elles ont saisi rapidement la nécessité des IOB par rapport à la difficulté financière des particuliers.

Un moyen de rassemblement des dettes

Le « rachat de crédit » est un moyen de rassemblement de l’intégralité des dettes en un seul (prêt conso, prêt personnel, crédit auto…). D’ailleurs, cette appellation est la mieux qualifiée pour ce genre d’opération financière.

Outre le rachat de crédit, il est également possible de désigner cette opération sous un autre nom comme « consolidation de crédits », « regroupement de crédits » et « gestion de son endettement ». Généralement, le rachat de crédit se déroule dans une situation d’urgence afin de sortir au plus vite possible du gouffre de l’endettement.

En effet, le rachat de crédit permet non seulement à un particulier d’alléger les charges de remboursement, mais il lui permet également de contracter un nouveau prêt dans d’autres organismes. Toutes fois, il doit prendre des précautions pour ne pas s’immerger dans le cercle spiral de la dette. Puisqu’il est plus facile de l’éviter que d’en sortir.